Project Description
Assise sur les bancs de l’école.
Le compte à rebours est lancé, sans être forcément sur la ligne de départ.
Ils nous disent :
« Prenez garde pour votre avenir »
Sans même vous parler des risques.
« Accrochez-vous, courage ne lâchez rien ».
Quelle vision difficile ne sachant pas pourquoi tenir.
J’ai mal à la tête, mon corps se contracte.
Une tension se crée.
L’attention m’est refusée, celle qui m’aurait permis de dire à l’école :
«Pour l’avenir, je ne sais pas, pourriez-vous m’apportez votre aide ? »
J’essaye, sans cesse, le temps passe, le stress s’installe comme des marches infranchissables.
L’examen du BAC n’est plus si loin, l’emprise de cette attente devient insupportable.
« Qu’est-ce donc que ce temps ? »
Sous la pression, si pesante que je sens à peine ce torrent qui m’emporte, née une envie d’errance mais pas sous toutes ses formes.
Trouver un sens et perdre l’habitude de divaguer.
Sans que le temps soit compté !
Trop d’absence vue comme de l’insolence, l’incompréhension qui se glisse dans le silence.
Le professeur me dit :
« Plus que 3 ! Plus que 3 mois, réveillez-vous ! »
Les battements de mon cœur s’accélèrent, je n’entends plus que ça et je laisse place à la rage de vivre.
La décision est prise … Je prends la porte et ne reviendrai plus.
Prendre le temps d’écouter, ressentir ce qui me touche : mon rythme, mes pulsations, mes directions.
Autant de choses qui m’ont poussé à aller voir ailleurs si l’entente et la communication n’étaient pas meilleures
Ne sachant plus quoi penser, le corps se démêle, le cœur s’emballe et l’emporte.
La cohérence du corps et de l’esprit devient réalité, ce que l’on veut reflète alors ce que l’on est.
La fin de mon cursus scolaire.
Un phénomène étrange m’a poussée dans un mouvement profond :
La danse…
Le compte à rebours est lancé, sans être forcément sur la ligne de départ.
Ils nous disent :
« Prenez garde pour votre avenir »
Sans même vous parler des risques.
« Accrochez-vous, courage ne lâchez rien ».
Quelle vision difficile ne sachant pas pourquoi tenir.
J’ai mal à la tête, mon corps se contracte.
Une tension se crée.
L’attention m’est refusée, celle qui m’aurait permis de dire à l’école :
«Pour l’avenir, je ne sais pas, pourriez-vous m’apportez votre aide ? »
J’essaye, sans cesse, le temps passe, le stress s’installe comme des marches infranchissables.
L’examen du BAC n’est plus si loin, l’emprise de cette attente devient insupportable.
« Qu’est-ce donc que ce temps ? »
Sous la pression, si pesante que je sens à peine ce torrent qui m’emporte, née une envie d’errance mais pas sous toutes ses formes.
Trouver un sens et perdre l’habitude de divaguer.
Sans que le temps soit compté !
Trop d’absence vue comme de l’insolence, l’incompréhension qui se glisse dans le silence.
Le professeur me dit :
« Plus que 3 ! Plus que 3 mois, réveillez-vous ! »
Les battements de mon cœur s’accélèrent, je n’entends plus que ça et je laisse place à la rage de vivre.
La décision est prise … Je prends la porte et ne reviendrai plus.
Prendre le temps d’écouter, ressentir ce qui me touche : mon rythme, mes pulsations, mes directions.
Autant de choses qui m’ont poussé à aller voir ailleurs si l’entente et la communication n’étaient pas meilleures
Ne sachant plus quoi penser, le corps se démêle, le cœur s’emballe et l’emporte.
La cohérence du corps et de l’esprit devient réalité, ce que l’on veut reflète alors ce que l’on est.
La fin de mon cursus scolaire.
Un phénomène étrange m’a poussée dans un mouvement profond :
La danse…